Neuchâtel, par sa nouvelle loi sur la police du commerce, est le premier canton à se doter d’un outil de contrôle des pierceurs et tatoueurs. Selon le chef de la police du commerce, Pierre Bonhôte, l’ampleur des « transformations corporelles » en fait un problème de santé publique. Pour obtenir une autorisation d’exercer, les professionnels doivent prouver qu’ils pratiquent dans les règles. Chez No Name, Ines Rieder estime que le SCAV n’est pas assez compétent.